La Sniper Ch. 01

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Big Tits

La Sniper Ch01

Mila vérifia le camouflage du canon de son PGM .50 en ce compris le silencieux et reprit la surveillance de la route de Koursk. D’après ce que la tablette de Valentyn relayait de la part du drone de sa section, un camion Shaman 5 tonnes allait bientôt surgir sur la route, à près de deux kilomètres de sa position.

Au bout d’une attente qui lui sembla interminable, le tout-terrain russe surgit au détour d’un virage, en plein centre de sa lunette de visée.

Le Shaman était un remarquable 8×8 mais péchait par sa lenteur, surtout avec sa carrosserie alourdies de plaques de blindage pour protéger l’équipage de ce camion civil réquisitionné pour l’invasion de l’Ukraine. Vu son prix, il devait contenir une cargaison précieuse ou un personnage important pour le risquer si près du front. Elle engagea une cartouche explosive et visa le radiateur non-protégé du camion.

« PLOP » et moins d’une minute plus tard, l’avant du 8×8 disparut dans la fumée.

Quelques instants après, le chauffeur et son convoyeur descendirent, ouvrirent le capot et essayèrent de déterminer l’origine de la panne sans réaliser immédiatement qu’elle était due à un tir ennemi.

Les portes arrières s’ouvrirent et trois autres soldats descendirent du véhicule, AK47 en main.

En moins de trois secondes, les cinq hommes furent abattus par les autres snipers de la section positionnés près d’un kilomètre devant Mila avec leurs armes de précision plus légères que son fusil anti-matériel.

Trois formes en tenue de camouflage et couvertes de branchages progressèrent vers le camion immobilisé. Dans sa lunette de visée, elle repéra une silhouette qui s’échappait de l’épave et prenait la fuite perpendiculairement à la route. Elle sélectionna une cartouche sous-calibrée et visa la jambe du fuyard.

« PLOP » . L’homme s’effondra. Via le réseau de son groupe, Mila intervint :

« Papa4 à Papa1. Ennemi blessé à 50m NE. »

« Papa1 à Papa4, tu es sure qu’il est toujours vivant? »

« Si je te le dis ! »

« OK Papa4 ; si c’est un officier, on le récupère et on se regroupe autour de toi ! »

Une demi-heure s’écoula avant que Valentyn, Miroslav et Andry la rejoignent. Ils poussaient devant eux un homme en uniforme russe sans grade apparent avec la jambe gauche grossièrement bandée.

« Joli tir » commenta Miro. « Tu lui as traversé la cuisse sans rien toucher de vital. Je pense que c’est un FSB. On le ramène avec nous. »

Mila acquiesça. Un homme de l’ex-KGB aussi près de la ligne de front devait détenir des informations intéressantes. Il fallut un peu le bousculer pour le forcer à avancer sur sa jambe blessée jusqu’à l’antique Lada Niva pick-up qui justifiait leur appellation de ‘section motorisée’. Miro prit le volant avec Val et sa tablette à ses côtés. Andry attacha le prisonnier à la carrosserie ouverte à l’arrière tandis que Mila fixait son PGM sur le toit de la cabine, prête à faire feu sur tout véhicule moins blindé qu’un char d’assaut.

Ils progressaient à travers bois par de vagues chemins forestiers, ne s’arrêtant qu’à l’entrée d’une clairière voire d’une prairie. Val envoyait alors le drone en reconnaissance avant que Miro ne traverse l’espace découvert à tombeau ouvert, secouant les passagers comme des pruniers, surtout ceux de la plateforme arrière. Les courts cheveux blonds de Mila volaient alors de tous côtés et elle remerciait en elle-même sa mère de lui avoir trouvé un soutien-gorge aussi ferme sinon sa forte poitrine aurait menacé de se décrocher.

A la tombée de la nuit,pas question d’allumer les phares et Miro s’arrêta enfin dans un sous-bois particulièrement touffu. Les membres de l’équipe descendirent de leur véhicule avec un soulagement évident. Andry resta à surveiller le prisonnier tandis que les autres s’éclipsaient pour faire leurs besoins. Puis ce fut le tour d’Andry et du prisonnier. Ils mangèrent ensuite leurs rations froides pour éviter toute fumée ou un arôme de cuisson qui pourrait attirer un animal ou pire, un soldat russe.

Tout en mangeant, Mila repéra les signes de tensions chez ses frères d’armes. Dès leur première mission, elle avait compris que l’équilibre de son groupe reposait sur leur faculté de récupération nerveuse après un engagement. Elle avait donc mis les choses au point avec eux : dès que possible après une échauffourée, elle les laisserait la baiser, tous les trois, l’un après après l’autre. Ils pourraient se soulager en elle mais de préférence sans l’oublier elle-même. Et ce ne serait que pour le sexe. Pas de sentiments. Et si elle oubliait sa pilule contraceptive, ce serait ceinture pour tout le monde !

Ils avaient fini par adopter un ordre de bataille satisfaisant : d’abord Andry qui était le moins membré et éjaculateur plutôt précoce puis Val qui parvenait parfois à la faire jouir et enfin Miro, le plus âgé et doté d’un calibre imposant qui la faisait à chaque fois chavirer en profitant de la lubrification déposée par les deux autres.

« Il est bien attaché? » demanda- t’elle en désignant du menton le trabzon escort Russe adossé à un arbre tandis qu’elle débouclait sa ceinture.

« Sauf s’il peut déraciner l’arbre, il ne bougera pas » se défendit Andry. « Tu veux que je lui bande les yeux? »

« Pourquoi faire? Peut-être que cela va réveiller sa petite bite de nous voir baiser comme des bêtes? » ricana t’elle en étendant son pantalon sur le sol avant de s’y prosterner à quatre pattes, sa croupe nue invitant le premier de ces messieurs.

Andry ne se fit pas prier, sortit sa petite verge pourtant pleinement érigée, cracha dans sa main et s’en servit pour badigeonner son membre. Il aurait pu s’en passer car Mila était particulièrement humide … et chaude ce soir. Entre l’exaltation de leur victoire et l’exhibitionnisme devant leur prisonnier, elle gémit même lorsque Andry la pénétra, s’accrochant à ses hanches pour s’enfoncer aussi loin que ses dimensions modestes le permettaient.

Comme d’habitude, il jouit sans honte au bout de quelques allées et venues et se releva rapidement pour laisser la place à Val qui s’astiquait déjà copieusement. Ce dernier connaissait maintenant bien les goûts de sa camarade et l’empala d’une seule traite lui arrachant un petit cri avant de la pistonner sans relâche.

Mila regrettait d’avoir gardé le haut de son uniforme car ses lourds seins l’élançaient et elle aurait bien aimé se les triturer pendant leur accouplement. Ou même mieux, qu’un de ses hommes les malaxe pour leur plus grand plaisir commun. Le summum aurait été qu’Andry lui suce les mamelons … le garçon avait une technique incomparable !

Son excitation monta encore d’un cran ou deux et elle sentit une boule se former au creux de son ventre et encouragea son partenaire :

« Oui … Val … continue … baise-moi … plus fort … je … je… VIENS ! »

Son vagin se contracta spasmodiquement autour du phallus qui, au même moment, entra en éruption et l’inonda jusqu’à son tréfonds.

Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle ne put s’empêcher de jeter un coup d’oeil au prisonnier attaché à son arbre. En apparence il restait impassible mais une énorme bosse déformait l’avant du pantalon de son treillis. Il avait même l’air plus membré que Miro qui cherchait avec difficulté à pénétrer sa fente contractée malgré l’abondante lubrification abandonnée par ses deux premiers amants.

Consciente de l’état d’excitation du voyeur russe, elle décida d’en rajouter :

« Vas-y Miro, déchire-moi … aaah … avec ton énorme … aaah … biiite ! Pousse … Aaahh .. tu me … tues .. Continue … aaahhh … à fond … baise-moi … mon taureau … ooohhh… YEEEOOOHHH … AAAHHHH … CONTINUE … BAISE-MOI … ENCOOORRE ! »

Le quadra y allait maintenant de bon coeur malgré l’étroitesse du fourreau pourtant dilaté à l’extrême. Il ne l’avait jamais connue aussi excitée même si chacun de leurs accouplements avait été une sacrée partie de chambre en l’air. Il sentit ses couilles s’enflammer et il se lança dans un sprint éperdu pour jouir en même temps que la femelle déchaînée sous lui.

Andry et Val les regardaient un peu jaloux de l’enthousiasme de la belle perforée par le mandrin de leur chef de section. Elle finit par hululer son plaisir tandis que Miro se pétrifiait, son bassin soudé aux fesses de Mila tandis qu’il éjaculait à gros bouillons en elle.

Elle s’écroula sur son pantalon qui absorba le sperme qui s’écoulait en abondance de sa fente toujours dilatée puis rassembla ses forces pour se rhabiller. Elle murmura « débrouillez-vous mais je prends la dernière garde. Besoin de récupérer bande de sauvages ! »

En fin de compte, ils la laissèrent dormir toute la nuit, ne la réveillant qu’aux premières lueurs de l’aube pour reprendre la route. Heureusement, après deux heures d’hors piste, ils finirent par arriver en territoire contrôlé par l’armée ukrainienne et surtout par sa défense anti-aérienne. Il purent donc se permettre d’emprunter une vraie route qui les emmènerait vers Poltava et le QG du corps d’armée.

Mila commençait à s’ennuyer devant la monotonie du trajet et se décida à étudier leur prisonnier. Il était grand, plutôt bien bâti et curieusement chevelu pour un militaire. S’il n’avait pas été un barbare russe -et FSB de surcroît-, il aurait pu paraître séduisant. Il la regarda comme elle le fixait et elle se perdit un moment dans le bleu de ses yeux avant de se reprendre et de l’apostropher en russe :

« Comment t’appelles-tu , tchékiste? »

« Youri »

« Youri comment? »

« Ben Youri Tchékiste, tu l’as dit toi-même »

Elle lui donna un coup de pied sur sa blessure mais il ne broncha pas.

« Ne joue pas au plus malin. Je parie que tu as une pièce d’identification sur toi. Si je dois la chercher moi-même, cela risque de faire mal. »

Il haussa les épaules

« Iouri Pavlovitch Simiakov »

« Grade? »

« Colonel »

« Si jeune? Alors tu es vraiment du FSB? »

Il rit franchement.

« Difficile à cacher. J’ai mon badge dans la poche tunceli escort arrière de mon pantalon . Vous auriez dû mieux me fouiller »

« Qu’est-ce qui amène un tchékiste à risquer sa vie au front? Quelques civils désarmés à maltraiter? »

« Là tu m’en demandes trop camarade. Il faudra plus que le spectacle dégradant d’une fornication entre sous-hommes pour me faire parler ! »

« Attends de faire la connaissance de la Louve, elle te fera passer le goût de la fornication ! »

Ils passèrent le premier barrage ukrainien et continuèrent leur route vers Poltava. Le QG était implanté dans la banlieue nord de la ville et ils s’y rendirent immédiatement pour faire leur rapport et remettre leur prisonnier à la hiérarchie.

« 5-1-0-0 . » annonça triomphalement Miroslav à leur major en entrant dans son bureau. Cinq morts et un prisonnier côté russe pour 0 mort et 0 prisonnier ou blessé du leur. Ils discutèrent encore quelques minutes de menus détails avant que le major ne congédie l’équipe qui se dirigea vers les quartiers de la troupe.

Mila put enfin se doucher du côté réservé aux femmes, heureuse de ne pas avoir de mâle en rut à ses côtés pour la première fois depuis une semaine. Soudain, elle entendit appeler :

« Caporale Polenko? Ludmila Polenko? »

Une petite silhouette féminine apparut dans l’embrasure de la porte du vestiaire. Mila rinça ses cheveux en vitesse et répondit « ICI ! »

Ilka Ivanova « La Louve » Vychenko était une légende au sein du corps d’armée. Au deuxième jour de l’invasion, alors encore civile, elle avait été faite prisonnière à l’est de Donetsk et violée des heures durant par des soldats russes. A la tombée de la nuit, malgré ses blessures, elle avait réussi à fuir, entièrement nue, en direction de l’ouest, précédée par les avant-gardes ennemies.

En chemin, elle avait réussi à surprendre une sentinelle qu’elle l’avait tuée avec sa propre baïonnette avant de s’emparer de son bardas et de se frayer un chemin vers les lignes ukrainiennes en laissant un traînée de cadavres derrière elle. Lorsqu’elle rejoignit enfin les troupes amies, elles était plus qu’à moitié morte et il lui fallut plus d’un mois d’hôpital pour être remise sur pied.

Depuis lors, quand elle ne participait pas à des raids destructeurs à la tête de son escadron spécial, elle s’était faite une spécialité de l’interrogatoire des prisonniers mâles dont elle arrachait les informations avec un raffinement de cruauté qui faisait frémir ses collègues des Renseignements ukrainiens pourtant peu farouches.

« Caporale Polenko, je suis venue vous inviter à assister à l’interrogatoire du tchékiste que vous avez capturé. »

« Heu, merci Capitaine mais je ne suis une qu’une sniper; je ne sais faire parler que mon fusil. »

« Justement, c’est le moment d’élargir vos compétences et le colonel souhaite justement que je forme d’autres femmes à mes techniques. Alors votre tchékiste est le cobaye parfait»

« Je veux bien essayer. Je m’habille et je vous suis »

« Pas besoin d’une garde-robe complète. Votre battle dress, un pantalon et vos sandales suffisent. »

« Mais .. .»

« Vous verrez bien, allez dépêchez-vous, votre homme nous attend ! »

Malgré l’inconfort de sa peau nue sous les rugueux vêtements, Mila parvint à rester à la hauteur d’Ilka qui dévala une volée d’escaliers avant de se diriger vers le fonds d’un long couloir où elles descendirent à nouveau une rampe qui semblait interminable.

« Un ancien abri anti-atomique qui date de la guerre froide » expliqua Ilka. « Un repère très pratique pour étouffer les cris » .

Au bas des marches, elle ouvrit une porte blindée et elles pénétrèrent dans une grande pièce baignant dans une lumière crue. Au milieu trônait une sorte de table d’examen gynécologique sur laquelle était étendu un homme entièrement nu à part un bandage à la cuisse gauche. Youri.

Ses jambes étaient écartées et fixées par des sangles aux repose-pieds. Ses bras et ses mains étaient également attachés par-dessous la table mais le plus surprenant était l’attirail dont il était affublé : des sortes d’électrodes scotchées aux mamelons et deux autres aux testicules qui pendaient sous une espèce de cage qui enserrait son pénis. La cage était reliée, comme les électrodes à un voltmètre posé sur une table voisine.

« Tu vois Mila – je peux t’appeler Mila? L’électricité à des effets changeants sur le corps humain. A très faible voltage, cela chatouille. Quand on augmente la dose, cela stimule les muscles ou en l’occurrence les zones érogènes, notamment l’organe dont les mâles se servent pour nous asservir ou nous punir. Et quand on arrive au maximum de ce que cet appareil peut fournir, tous les muscles se crispent douloureusement et leurs terminaisons nerveuses commencent à bouillir.

Mais le plus drôle, c’est quand leur bite se met à grossir avec le moyen voltage et qu’elle s’étrangle elle-même dans la cage. En alternant les voltages, tu arrives à les rendre impuissants à vie. Et tout cela sans laisser de traces uşak escort contrairement à ce que les bouchers du FSB font à nos hommes»

« A moins qu’il ne parle … »

« A moins qu’il ne parle, ce qui arrive malheureusement dans la plupart des cas !

Tu veux essayer?»

Mila hésita mais elle entendit soudain la voix provocante de Youri dans un ukrainien parfait :

« Elle ne le fera pas ; elle aime trop les bites et encore, elle n’a jamais essayé la mienne ! »

Furieuse, Mia tourna le bouton du voltmètre immédiatement en position médiane et Youri se cabra sous le brutal influx électrique. Il grinça des dents mais garda son ton bravache : « C’est vrai que cela chatouille ! »

Mais dans le même temps, elle vit les testicules prises de soubresaut et la verge commencer à gonfler jusqu’à remplir entièrement la cage. Seuls les mamelons ne bougeaient pas mais cela n’empêchait certainement pas le courant de les titiller sans merci.

Bientôt les chairs de la verge commencèrent à s’infiltrer dans les interstices de la cage et à prendre une teinte violacée.

« A ce stade-ci, il ne ressent qu’une douleur moyenne, ce qu’un homme tel que lui peut encaisser pendant des heures donc, nous allons y ajouter une source d’inconfort … Viens ici ma belle » dit-elle en lui faisant signe de s’approcher de la tête du prisonnier.

D’un seul geste, elle fit sauter les pressions de la battle dress de Mila qui s’ouvrit immédiatement en grand sous la pression de l’orgueilleuse poitrine de la sniper. Ilka lui caressa doucement les mamelons jusqu’à ce que les tétons pointent comme des balles de 5,56.

« J’espère que tu n’as rien contre les femmes mais de toute façon, dis-toi que c’est pour la patrie »

Elle obligea Youri à tourner la tête vers les deux obus de la caporale.

« Regarde bien, le boucher, c’est la dernière fois que tu bandes en voyant ces merveilles ! »

Puis sa main s’aventura sous le pantalon de Mila et elle continua :

« Hum, son clitoris est mouillé à souhait, cela doit l’exciter de se demander si ta bite se déchirera avant tes couilles ou l’inverse. Je crois qu’elle va jouir très vite … N’est-ce pas Mila? »

« Aaah … rrêtez … j’ai … honte … »

« Argh … tu n’avais pas honte … aarg … l’autre soir … quand tu as baisé tes trois … arg … coéquipiers-tueurs » grinça Youri qui transpirait maintenant à grosses gouttes.

« Ah petite coquine … tu as accepté d’être le hangar à bites de tes mâles? Donc un petit orgasme clitoridien ne te fera pas de mal pour changer ! C’est un ordre !» continua Ilka qui astiquait de plus en plus furieusement le bouton d’amour de sa subordonnée.

« Noooon … laissez-moi … je ne veu-eux paaaAAAAAHHHH ! »

Ilka la soutint à bout de bras tandis qu’elle tournait presque de l’oeil sous l’intensité d’un orgasme plus fort que tout ce qu’elle avait connu avec son équipe.

« Regarde … regarde je te dis … notre vaillant héros a joui rien qu’en te voyant prendre ton pied et malgré la cage. Il en a mis partout de sa maudite semence.

Le plus beau c’est qu’à cause de l’électricité, ni sa bite ni ses couilles n’en seront soulagés. Encore cinq minutes puis on passe à l’intensité maximale jusqu’à ce qu’il s’évanouisse. Tu verras qu’à son réveil, il sera nettement moins fringuant et qu’il va nous supplier de ne pas repartir pour un nouveau tour de manège ! »

Youri gémit, se cabra, se contorsionna dans tous les sens pour essayer vainement d’échapper à l’infernal courant qui traversait son corps mais à la grande surprise des deux femmes, il resta conscient. Ilka finit par arrêter le voltmètre.

« C’est un dur à cuire celui-là » commenta la Louve. « Que dirais-tu d’une petite variante à ma technique habituelle? »

Elle arracha les électrodes couvrant les mamelons et les testicules, laissant apparaître des zones de peau rouges vif. Puis elle voulut retirer la cage qui enserrait le pénis tuméfié mais elle resta coincée. Elle dut s’y prendre à deux mains pour arriver à ses fins, arrachant au passage un cri de douleur à sa victime. Sous les yeux ébahis de Mila, la verge se déploya alors dans toute sa longueur. En pleine extension, elle était encore plus imposante que celle de Miroslav même si de fins hématomes apparaissaient là où la grille de la cage l’avaient compressée.

« Elle m’a l’air à point » commenta Ilka en revenant vers Youri. Elle fixa avec une certaine difficulté un anneau à clapet à la base du membre hypertrophié puis un autre au-dessus des testicules qu’elle serra au maximum.

« Que penses-tu de ce beau sex toy? » demanda-t’elle à Mila « Jadis j’en aurais bien profité moi-même mais depuis que ces salauds m’ont forcée, j’ai le vagin trop sensible, surtout au niveau des points de suture. A toi donc de le violer mais rien ne t’empêche de prendre ton plaisir au passage comme avec tes frères d’arme. Ne t’en fais pas, lui ne pourra pas jouir en toi avec les anneaux qui l’enserrent»

« Mais je … non … je ne peux pas …ce n’est pas la même chose .. . »

« Ne joue pas à la pimbêche puritaine avec moi. Si je t’ai fait venir, c’est parce que tes compagnons se sont assez vantés devant une bouteille de vodka de leur bonne fortune de faire équipe avec une nymphomane. Alors, baise-le jusqu’à ce que ses couilles explosent de désir inassouvi ! »

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir